Le philosophe français a réuni, lundi à Paris, plusieurs membres de l’opposition syrienne à l’étranger.
Un appel à mettre un terme à la tragédie en Syrie, signé Jacques Bérès, Mario Bettati, André Glucksmann, Bernard Kouchner et Bernard-Henri Lévy.
Il y a cinq raisons au moins qui font qu’on ne peut pas dire que Bachar Al-Assad soit une « alternative » à Daech. Explication de BHL.
Il serait logique, pour Barack Obama, d’aller au bout de l’exercice de sagesse qu’il s’est imposé et qu’il a imposé à son homologue français : aller à Saint-Pétersbourg, oui ; mais en bouleversant l’agenda de la réunion.
Un texte fort cosigné avec Woody Allen, Umberto Eco, David Grossman, Amos Oz, Orhan Pamuk, Salman Rushdie et Wole Soyinka.
Un appel à mettre un terme à la tragédie en Syrie, signé Jacques Bérès, Mario Bettati, André Glucksmann, Bernard Kouchner et BHL.
On attend maintenant les actes qui seront le corrélat de la déclaration courageuse de François Hollande et que nous attendions.
BHL interroge le président Hollande : « La France fera-t-elle, pour Houla et Homs, ce qu’elle a fait pour Benghazi et Misrata ? »
Le philosophe dresse le bilan de sept années de guerre qui ont fait des Syriens les martyrs de Bachar el-Assad, sur fond d’impuissance coupable.
Il n’y a plus de bonne solution depuis août 2013, mais dans l’enfer des mauvaises solutions, la plus mauvaise de toutes, c’est celle de Vladimir Poutine.
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