Le dernier livre de BHL est une biographie intellectuelle à demi rêvée de l’auteur lui-même, à mi-chemin de la confession et du manifeste.
Bernard Frank a lu « Éloge des intellectuels ». Selon lui, en attaquant Sartre, c’est Baudelaire que BHL veut venger.
Aux États-Unis, Allan Bloom publie un éloge de la culture générale. À Paris, BHL un éloge des intellectuels. Les clercs crient à la trahison des autres.
« Le Diable en tête », premier roman de BHL, n’est que la continuation par d’autres moyens de ses livres précédents.
BHL est devenu la figure de l’intellectuel multifonctionnel, avec une continuité dans sa vision du monde, présentée dans son recueil « Récidives ».
Entre la sortie d’un livre, la réédition d’un autre et la relance d’une revue, BHL partage ses interrogations sur le sens de l’Histoire et l’expérience de l’altérité à travers le voyage.
Alors que le philosophe rapporte d’Ukraine un nouveau documentaire, il rappelle pourquoi les démocraties doivent lutter contre la coalition des nihilistes : Russie, Iran, Turquie, Chine, Hamas…
Peu de temps avant sa mort, Baudelaire disparaît en Belgique. On sait peu de chose de ce long et douloureux voyage intérieur. Bernard-Henri Lévy donne sa version.
Le dernier entretien fleuve de Michel Leiris a été accordé à BHL, futur fondateur de « La Règle du jeu », du même nom que le roman de Leiris.
Le PS est mort. Pourtant, selon BHL, la gauche de demain, la gauche moderne et réinventée, est encore invisible – mais elle est là.
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