C'est un débat douloureux et sensible qui traverse l'Allemagne : faut-il du passé faire table rase, tourner la page de la Shoah, au risque de l'oublier ?
Le fil conducteur du dernier essai de BHL se trouve dans l’amour pour la complexité, l’éloge du double, du multiple.
Les massacres du 7 octobre ont inspiré à Bernard-Henri Lévy et Gérard Araud deux livres, deux réflexions profondes et complémentaires sur Israël, son peuple et son histoire. Le lyrisme du philosophe et le réalisme du haut diplomate se rejoignent dans un même idéal de justice.
Pour son feuilleton, Bertrand Poirot-Delpech a lu « Éloge des intellectuels » de BHL, et « La Défaite de la pensée » d’Alain Finkielkraut.
Questions à Bernard-Henri Lévy à la lumière de Hegel, Heidegger et Leibniz.
Le philosophe publie un livre événement, « Solitude d’Israël ». Il alerte contre la nouvelle réprobation de l’État juif et souhaite mener la bataille de la vérité.
Bernard-Henri Lévy signe un excellent essai, « Solitude d’Israël », où il démonte un à un les arguments antisionistes.
Dans son nouvel essai, le philosophe fait l’anatomie de la tragédie du 7 octobre. Plus qu’un nouvel épisode sanglant du conflit israélo-arabe, il y voit un pogrom sans précédent depuis la Shoah.
Pierre Bergé explique pourquoi il faut lire le dernier livre de Bernard-Henri Lévy, qui signe une défense et illustration des intellectuels.
Raymond Aron a lu « L’Idéologie française », et attaque le livre de BHL qui fait le procès du pétainisme et de la Révolution nationale.
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