Le philosophe salue la dignité de ces combattants de fortune qui, à Syrte, comme au premier jour, font la guerre sans l’aimer.
Lévy, en Libye, fut à l’exemple de Byron, d’Annunzio, Lawrence, Malraux, Orwell, ces lettrés requis par une haute nécessité, s’ingérant dans la guerre.
Et si les masques de la pandémie avaient été, non sur nos bouches, mais sur nos yeux ? C’est, dans son film, « Une autre Idée du Monde », la conviction de Bernard Henri Lévy.
Quand on veut lâcher la Libye libre, on dit qu’elle est insauvable, peu fiable, ramassis d’ex-kadhafistes, infiltrée par Al-Qaeda, douteuse.
Du soulèvement à la libération, le philosophe Bernard-Henri Lévy signe un film qui retrace les huit mois d’insurrection.
Bernard-Henri Lévy, qui publie « La Guerre sans l’aimer », revient sur le rôle qu’il a joué dans l’intervention militaire en Libye contre Kadhafi, et donne sa vision de l’avenir du pays.
« Peshmerga », c’est le cinéma de guerre au temps des drones et des Go-pro. Et pour leçon : à la fin de Daech, dans l’après-Assad qui tôt ou tard adviendra, il faudra bâtir un Kurdistan unifié, indépendant et démocratique.
Dans un chat sur le site du « Monde », BHL assure qu’il n’a pas pris la place du ministre des affaires étrangères, Alain Juppé, dont il dit qu’il fait « très bien son travail », en soulignant que cela n’a pas toujours été le cas, en Bosnie.
Allons-nous bafouer nos principes les plus sacrés en expulsant Abdul Wahid al-Nour, combattant de la liberté, défenseur d’un islam modéré ?
BHL prend le contre-pied de « ceux qui, comme Claude Lanzmann, trouvent le temps long et tournent casaque » sur le dossier libyen.
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