C’est un événement. Mardi 30 janvier, les neuf heures du chef-d’œuvre de Claude Lanzmann ont été diffusées in extenso sur France 2. Un bel exemple de pédagogie télévisuelle.
Le philosophe a pris la parole au Mémorial de la Shoah, à Paris. Il redit ici pourquoi la Shoah fut un événement irréductiblement singulier.
Commémoration dédiée aux victimes sans sépulture de la Shoah. Allocution par Bernard-Henri Lévy, philosophe, écrivain, cinéaste. Kaddish par le Grand rabbin Olivier Kaufmann.
Une échelle du mal et du pire. Une boussole. C’est cela, le souvenir de la Shoah. Et c’est pour cela, encore, qu’il faut la commémorer.
Commémoration de la Shoah – Yom Ha’Shoah à Genève. Dans le cadre des Nations Unies, conférence majeure consacrée à la...
À Genève, sur la place des Nations, à l’occasion de Yom Hashoah – cette journée de la mémoire de l’extermination du peuple juif par les nazis –, BHL a prononcé ce discours où il explique pourquoi il faut commémorer les morts de la Shoah.
Les massacres du 7 octobre ont inspiré à Bernard-Henri Lévy et Gérard Araud deux livres, deux réflexions profondes et complémentaires sur Israël, son peuple et son histoire. Le lyrisme du philosophe et le réalisme du haut diplomate se rejoignent dans un même idéal de justice.
François Heilbronn est professeur associé à Sciences Po. Pour le « JDD », il revient sur l’ouvrage de Bernard-Henri Lévy, « Solitude d’Israël », et livre une chronique riche en histoire et en émotions.
BHL signe un texte de résistance courageux qui sonne juste et vrai, fidèle envers le peuple juif, son histoire et ses valeurs.
Dans son nouveau livre, « Solitude d’Israël », le philosophe Bernard-Henri Lévy dénonce le négationnisme qui relativise le pogrom du 7 octobre.
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