Des intellectuels français demandent au président de la République d’intervenir en faveur des prisonniers politiques birmans.
Il y a urgence à en finir avec le silence et l’aveuglement en Birmanie. Une délégation de parlementaires doit se rendre sur place.
En Birmanie la dictature est sourde, folle, raciste, monomaniaque, autiste, mafieuse, pingre et grotesque, bref chimiquement pure.
Un mot sur l’« ouverture ». Anna Politkovskaïa. Un deuxième Nobel pour la dame de Rangoun.
D’accord, il n’y a pas de formule miracle pour faire plier la junte. Mais les sanctions ne servent-elles vraiment à rien ?
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