Le 1er décembre 2003, Bernard-Henri Lévy participait à la cérémonie de lancement de ce que l’on a appelé « l’Initiative de Genève » pour la paix au Proche-Orient, en tant qu’« Ambassadeur pour l’Europe » pour cet accord.
Il est urgent de libérer la région d’une organisation terroriste qui a planifié et voulu le cauchemar que vivent les Israéliens et les Palestiniens.
L’Amérique selon Sharon Stone. Les adieux de Derrida. Deux ans après Ramallah. Souvenir de l’émoi de Mai. Islam contre Islam.
Visionnage du film sur l’Ukraine, réalisé par Bernard-Henri Lévy qui pousse à un soutien unanime, sans réserves diplomatiques ou hésitations pacifistes d’aucune sorte.
Il convient, à propos de la supposée « crise » entre Israël et l’Amérique, de distinguer entre deux niveaux d’analyse bien distincts.
Le philosophe s'oppose aux réalistes ou aux souverainistes qui plaident pour une solution négociée en Ukraine. « Poutine ne sait rien faire de mieux que la guerre », prévient-il.
La BnF et France Culture présentent : Sartre-Camus, la paix ? Bernard-Henri Lévy et Raphaël Enthoven Lectures : Georges Claisse et Anne Brissier...
Bernard-Henri Lévy a vécu avec Petro Porochenko ces quelques heures cruciales avant le sommet de Minsk.
Le philosophe, partisan de l'avènement d'un État palestinien viable, s'oppose à la demande d'une reconnaissance unilatérale.
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