Il faut tenter de penser le phénomène Le Pen... et en même temps, quelle absurdité, après Auschwitz, de devoir colloquer sur le racisme.
C’est un événement. Mardi 30 janvier, les neuf heures du chef-d’œuvre de Claude Lanzmann ont été diffusées in extenso sur France 2. Un bel exemple de pédagogie télévisuelle.
Bernard-Henri Lévy est-il de gauche ? À quoi aspire ce nouveau romancier ? Quel rapport entretient-il avec son « œuvre » ?
BHL dit ici ce que l’opéra, dont le renouveau est aussi l’affaire de la nouvelle génération, éveille pour lui, comment il l’entend.
Ce style de roman, la biographie romancée, d’où viennent-ils ? Dans quelle tradition BHL se situe, avec son ouvrage sur Baudelaire ?
Depuis les années 70, les intellectuels sont-ils morts ? Non, non, dit Bernard-Henri Lévy. Ce n’est qu’une éclipse.
« Les Derniers jours de Charles Baudelaire » de Bernard-Henri Lévy, le roman d’une vie saisie au moment de son agonie.
Puisque l’écrivain est une « lumière isolée », Bernard-Henri Lévy a voulu, dans son second roman, explorer l’énigme Baudelaire.
S’il fabrique des concepts et construit un système, le philosophe, tel que Lévy veut l’incarner, est aussi un « guérillero ».
Allocution prononcée par Bernard-Henri Lévy au Mans, le 28 octobre 2001, lors du 13e Forum du journal « Le Monde », qui avait pour thème : « Devoir de mémoire, droit à l’oubli ».
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