S’il y a un péril, aujourd’hui, pour la survie d’Israël, ce péril s’appelle la Cisjordanie et Gaza. Il faut sortir du piège des territoires.
Il est inacceptable de renvoyer dos à dos les kamikazes et leurs victimes, et de laisser croire que cette nouvelle flambée de violence est spontanée.
Bernard-Henri Lévy a repris ses carnets de bourlingueur et de... redresseur de torts. Sa « romanquête » fait un tabac. L’assassin du journaliste Daniel Pearl sert de cadre à une mise en garde terrifiante contre les dangers que l’islamisme pakistanais ferait courir au monde.
Le 1er décembre 2003, Bernard-Henri Lévy participait à la cérémonie de lancement de ce que l’on a appelé « l’Initiative de Genève » pour la paix au Proche-Orient, en tant qu’« Ambassadeur pour l’Europe » pour cet accord.
La passion de savoir est plus grande que le souci de la survie et de la prudence. BHL évoque son enquête sur la mort de Daniel Pearl.
À propos des caricatures danoises qui font le tour du monde musulman où elles sont en train de déclencher une sorte d’Intifada planétaire.
Face au triangle de mort qui se forme entre Syrie, Iran et Palestine, incendiaires dans l’affaire des caricatures, on doit opposer un triangle de raison.
Israël sur le banc des accusés, dans un climat d’hystérie sémantique. Est-il possible de faire entendre la voix de la raison – et des faits ?
Konopnicki sur Israël, les Palestiniens, a le mérite de repartir de zéro et de déblayer des idées reçues qui paralysent, sur le sujet, la réflexion.
Les auteurs de la vague d’attentats-suicides de samedi et dimanche en Israël ne sont pas des combattants, mais des tueurs.
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