Résultats pour « Critique »

L’autocritique de Bernard-Henri Lévy : « Oui, j’ai utilisé les médias »

Bernard-Henri Lévy (entretien), Le Quotidien de Paris, 13 mars 1987

Dans son dernier essai, BHL s’attaque à la pensée simpliste des bateleurs, et définit l’intellectuel de demain, un intellectuel « du troisième type ».

Critique de la déraison pure

Guy Konopnicki, Le Figaro, 23 avril 2003

Roman, récit, journalisme, philosophie ? Le livre de BHL sur l’assassinat de Daniel Pearl est tout à la fois.

De la critique en général et du lynchage en particulier

Bernard-Henri Lévy, Le Point, 22 février 1997

Deux ou trois choses à propos des rites et usages de « la » critique de cinéma. Pratique-t-elle encore « l’art d’aimer » ?

Notre critique du film de Bernard-Henri Lévy sur Arte : « Pourquoi l’Ukraine »

Blaise De Chabalier, Le Figaro, 28 juin 2022

Le philosophe signe un film documentaire saisissant au cœur du pays attaqué par la Russie de Vladimir Poutine depuis le 24 février. A ne pas manquer, le mardi 28 juin 2022 à 22 heures 25 sur Arte et sur arte.tv.

« Agression gratuite contre Gide et Malraux » et « Réponse à Roger Stéphane »

Bernard-Henri Lévy et Roger Stéphane, Le Figaro, 27 mars 1991

La polémique qui opposa Roger Stéphane et BHL à propos de l'essai de ce dernier, « Les Aventures de la liberté », à propos de Mounier, Gide et Malraux.

Solitude d’Israël

Paule-Henriette Lévy, L’Arche, 01 mai 2024

Dans son dernier essai BHL explique en quoi le 7 octobre fut pour « Israël un moment de vertige », le signe d’une solitude.

BHL : les loges des intellectuels

Serge Daney, Libération, 25 avril 1987

La pensée a-t-elle sa place dans le théâtre médiatique ? Dans « Éloge des intellectuels », Bernard-Henri Lévy dit que oui. Mais il oublie que les médias ont aussi une histoire. La télévision change sous nos yeux. La sphère enchantée de ses stars a sa logique qui mérite peut-être d’être « pensée ».

Signes favorables

Alain Besançon, L’Express, 27 mars 1987

Les livres de BHL, Finkielkraut, Bloom, Henry, annoncent peut-être le printemps de notre culture. La critique d’Alain Besançon.