Bernard-Henri Lévy est-il de gauche ? À quoi aspire ce nouveau romancier ? Quel rapport entretient-il avec son « œuvre » ?
Ses façons d’émeutier mâtinées de dandysme rendent BHL plus conforme à la chevalerie lettrée du XIXe siècle qu’au froid désenchantement du nôtre.
Avec son premier roman BHL fait le portrait de la génération perdue du demi-siècle, de 1940 à nos jours, en énumérant ses rêves brisés.
BHL est entré en littérature avec fougue, signant une fresque fascinante, émouvante, dérangeante aussi.
Le « must » de la rentrée : le premier roman de BHL, « Le Diable en tête ». Un coup d’essai et un coup de maître.
En racontant la vie et la mort de Baudelaire, Bernard-Henri Lévy interroge jusqu’au vertige les chemins de la création.
Où il est question de Lautréamont, Nietzsche, Sartre, Heidegger, Joyce, Proust, Céline, Artaud, Kafka, Bataille, de la Chine, du fascisme...
La règle du jeu : des noms, un jeté de noms, dont le point commun était d’avoir, d’une manière ou d’une autre, compté dans la vie intellectuelle ou personnelle de BHL.
Analyse avec le philosophe de son dernier essai, « Ce grand cadavre à la renverse », qui revient sur la défaite de la gauche.
Il publie son 43e livre, « L’Empire et les cinq rois », chez Grasset. L’occasion, à quelques mois de son 70e anniversaire, de revenir sur le parcours de ce philosophe qui travaille à sa postérité depuis longtemps déjà.
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